PARPAR
Un des deux fleuves de Damas qui, au goût de Naaman, valaient mieux
que toutes les eaux d'Israël (2Ro 5:12). Tandis que le premier,
l'Abana, est généralement identifié aujourd'hui (le Barada
actuel), ce n'est pas le cas du Parpar: les Uns le voient dans le
Nahr el-Aouadj, qui va de l'Hermon au désert vers l'Est, et qui
recevait autrefois les eaux du ouâdi Barbar, au cours parallèle
un peu plus au Nord; d'autres en font ce ouâdi lui-même ou l'un ou
l'autre des cours d'eau secondaires du réseau de canaux qui arrose
les environs de Damas; d'autres pensent, avec moins de vraisemblance,
à l'Oronte lui-même (Nahr el-Asi), le grand fleuve syrien par
excellence.